Un texte qui dépeint l'état du monde de la surveillance, et qui termine de façon très pessimiste : « Bilan des courses ? Il n’y a rien à faire pour contrer la surveillance de masse sur Internet. »

Je partage son avis, mais pas sa conclusion. Ça transparaît dans tout l'article : la raison pour laquelle nous ne pouvons rien faire est purement politique. Nous, citoyens, ne prenons pas les décisions qui régissent notre monde, nous laissons d'autres personnes le faire à notre place. Plus je lis ce genre d'articles, plus je crois que Chouard a raison : la cause des causes, c'est notre impuissance politique. Si on veut sauver notre monde, il faut, avant tout, reprendre notre pouvoir politique. En attendant, nous ne faisons que nous battre contre des moulins à vent.